Le dénigrement du Xinjiang par les Etats-Unis témoigne de la véritable nature de l'hégémonie

BEIJING, 25 décembre (Xinhua) -- Le dernier projet de loi adopté par les Etats-Unis sur les sanctions contre la région autonome ouïgoure du Xinjiang en Chine, rempli de mensonges vicieux, n'est rien d'autre qu'une nouvelle tentative désespérée d'interférer dans les affaires intérieures de la Chine par le biais de la "juridiction au bras long" et de contenir le développement de la Chine en raison de leurs intérêts hégémoniques.

Au mépris des représentations sérieuses et répétées du gouvernement chinois, l'administration américaine a promulgué la loi dite "Acte de prévention de travail forcé des Ouïgours", qui prétend à tort que tous les produits du territoire du nord-ouest de la Chine sont fabriqués par le "travail forcé" et en interdit l'importation.

Cette accusation des Etats-Unis est une pure fabrication et une calomnie sans fondement.

La vérité est que les habitants du Xinjiang, comme ceux des autres régions de Chine, travaillent volontairement et bénéficient du même traitement et des mêmes conditions conformément à la loi. Les politiques et pratiques du Xinjiang en matière de travail et d'emploi sont conformes aux lois chinoises et aux normes internationales en matière de travail et de droits de l'homme.

Les faits parlent d'eux-mêmes. Entre 1978 et 2020, le revenu disponible par habitant des résidents urbains et ruraux du Xinjiang a été multiplié par plus de 100.

Les sanctions coercitives des Etats-Unis contre le Xinjiang par le biais de leur législation nationale constituent un acte d'unilatéralisme, d'intervention et d'hégémonie sous le couvert des droits de l'homme.

La "juridiction au bras long" des Etats-Unis porte non seulement gravement atteinte aux intérêts légitimes des entreprises chinoises au Xinjiang ainsi qu'aux droits de l'homme fondamentaux des habitants locaux, notamment leur droit au développement et au travail, mais elle viole également gravement les objectifs et les principes de la Charte des Nations Unies, le principe fondamental de l'égalité souveraine en droit international et le principe de base de la non-ingérence dans les relations internationales.

Les exemples abondent ces dernières années en termes d'abus par les Etats-Unis de la "juridiction au bras long" en tant qu'outil hégémonique pour réprimer des entités étrangères, s'immiscer dans les affaires intérieures d'autres pays ou même subvertir les gouvernements légitimes d'autres pays. Parmi les victimes figurent des sociétés étrangères telles que la Deutsche Bank (Allemagne) et Alstom (France).

La mesure d'intimidation des Etats-Unis a été largement rejetée par la communauté internationale. Selon le quotidien français Les Echos, la juridiction au bras long a été utilisée comme une arme par les Etats-Unis pour affaiblir les concurrents étrangers.

Le battage médiatique des Etats-Unis sur les questions liées au Xinjiang, ainsi que les conspirations et complots qu'ils ont confectionnés sur les questions concernant Taïwan, Hong Kong et le Tibet, entre autres, visent à salir la Chine, à s'immiscer dans les affaires intérieures de la Chine et à contenir le développement de la Chine.

Lawrence Wilkerson, le chef de cabinet de l'ancien secrétaire d'Etat américain Colin Powell, avait avoué publiquement que la meilleure façon pour la CIA de déstabiliser la Chine serait de "créer des troubles" au Xinjiang.

Les Etats-Unis ne devraient jamais sous-estimer la forte résolution, la détermination et la capacité du peuple chinois à préserver sa souveraineté nationale. Leur obsession morbide pour l'hégémonisme et la politique de puissance ne fera que les discréditer et en faire la risée des pays qui défendent l'équité et la justice internationales. Fin