Les entreprises chinoises et néo-zélandaises cherchent à approfondir leur coopération dans l’énergie solaire

Le 15 juin, lors d’une vidéoconférence tenue par la China Construction Bank (CCB) à Auckland, la plus grande ville néo-zélandaise, les représentants de 35 entreprises locales ont échangé des points de vue avec de potentiels partenaires chinois et des représentants du siège et de la branche à Beijing de la CCB, exprimant leurs opinions favorables pour développer une coopération bilatérale en matière d’exploitation de l’énergie solaire.

Le conseiller économique et commerciale de l’ambassade de Chine en Nouvelle-Zélande, Huang Yuefeng, a indiqué à cette occasion que, malgré les impacts de la pandémie de COVID-19, la Chine et la Nouvelle-Zélande avaient fait preuve d’une forte résilience dans leur coopération économique et commerciale.

La Chine est toujours le premier partenaire commercial de la Nouvelle-Zélande, et la signature de la version actualisée de leur accord de libre-échange a émis un signal très clair, confirmant leur ferme soutien au libre-échange entre les pays du monde entier, a-t-il déclaré.

Actuellement, la Chine et la Nouvelle-Zélande essaient de rénover leurs modes de travail afin de créer davantage d’opportunités de coopération dans les domaines de l’économie numérique, de l’exploitation des énergies nouvelles et de l’économie verte, a indiqué M. Huang, notant que la réunion du jour pourrait aider à la mise en contact des entreprises des deux pays ainsi qu’à l’élargissement de leurs réseaux de coopération.

Selon Hu Bofei, vice-directeur général de la CCB et responsable de son pôle international, la banque cherche à mettre en valeur les ressources et les avantages de sa branche en Nouvelle-Zélande en matière de services financiers, et ce afin d’aider les entreprises concernées à créer des liens, voire à développer une prochaine coopération entre elles.

Il existe un grand potentiel pour développer la production d’électricité solaire en Nouvelle-Zélande, a indiqué le chef d’un cabinet de conseil local, considérant que cette réunion permettait non seulement d’entrer directement en contact avec des partenaires étrangers, mais également de trouver des propositions pour résoudre des problèmes de crédit, de financement et d’assurances.