Les jeunes taïwanais se développent vers l’ouest « Je vais bien me battre dans la pépinière d'entreprises taïwanaise de Pingtan. »

« Pingtan prend un aspect tout nouveau chaque jour et est plein de possibilités, donnant envie aux gens de prendre une chance. » Du fait que ses parents ont ouvert une maison de commerce hors taxes d’un trois-excellentes affaires dans le marché hors taxes des marchandises taïwanaises à la zone de Pingtan, le jeune taïwanais Mo Juya, à l’âge de 24 ans, est venu à Pingtan de Yilan de Taiwan.

Mo Juya a décidé d’établir sa propre maison. Dans la pépinière des entreprises taïwanaises, qui se trouve à la zone Jin Jingwan de Pingtan, il était en train d’arranger ses documents académiques et ceux d'identité lorsque le journaliste est entré dans son « Espace créatif culturel Yaya ».

« Il ne faut que 3 heures pour rentrer chez moi, en plus le seuil entrepreneurial est bas, je vais bien galérer ici. » En indiquant les documents, Mo Juya a dit que « Ce sont les documents nécessaires pour l’entrée dans la pépinière d'entreprises taïwanaise, si vous avez des idées assez bonnes, on peut encore obtenir une subvention de 150 mille yuans. »

La pépinière d'entreprises taïwanaise de Pingtan,, couvrant une superficie de 130 acres, et avec un total de 36 bâtiments entrepreneuriaux, a été choisie comme la base pionnière des jeunes des deux rives du détroit. Elle avait été planifiée à l’origine pour la base pionnière des jeunes des deux rives, le centre d'entreprise des sciences et de la technologie, le parc industriel transfrontalier du commerce électronique, le siège des PME et d'autres domaines fonctionnels, ainsi que le centre d'arbitrage du détroit, et la vallée d’entreprises des jeunes du détroit du Comité révolutionnaire Kuomingtang de Chine sont également situés là-bas.

Jusqu’au 5 août 2016, il y a déjà 143 entreprises entrant réellement dans cette pépinière d'entreprises taïwanaises de Pingtan, y compris 10 agences de gestion de l'espace de création publique, une agence de gestion d’incubateurs nationaux. Les projets inscrits comprennent la biotechnologie, l'information électronique, la fabrication d'équipement, la gestion de la santé, le commerce électronique, les services financiers, les services aux entreprises, la créativité culturelle, les services touristiques.

« Je ne quitterai pas dès que j’y arrive. » Zhan Yizhe, un entrepreneur jeune taïwanais qui a déménagé à Pingtan de la province du Jiangsu, gère un espace de création publique dans la pépinière d'entreprises taïwanaise, mais ce n’est que ses « occupations secondaires », il est également directeur général de Petro système tuyauterie Co., Ltd, qui a été répertorié dans le nouveau Sanbanxi.

En mai de l’année dernière, Zhan Yizhe a fait sa visite auto-conduite à Pingtan par la réputation de cette dernière. Il a été attiré par cette zone pour sa convergence des avantages attachée par ses identités : la zone de libre-échange, zone pilote intégrée, île touristique internationale « une île, deux zones », en plus, elle jouit à la fois des politiques préférentielles de l'impôt sur le revenu des entreprises qui est à 15% d'escompte, et une série des politiques favorables de surveillance douanière etc.

Par la subtilité d’un marchand, Zhan Yizhe s’aperçoit que les perspectives de développement du transport intermodal maritime entre Pingtan et Taibei sont considérables, grâce à l’essor de la logistique, les affaires de déclaration en douane sont en train de déménager du port Jilong à celui de Taibei. « Je sens un changement assez évident. »

Le 18, Zhan Yizhe a signé avec le comité de gestion de zone pilote de Pingtan de la part de son entreprise Petro, qui lancera la construction d’une base générale intégrant la conception du système de refroidissement de l'eau, traitement, logistique et règlement de la production d'énergie éolienne, et va déplacer à Pingtan le Centre des opérations Asie-Pacifique de la marque d’initiative de pipe industrielle Petrohose. Zhan Yizhe croit que les politiques préférentielles de Pingtan sur Taiwan attireront plus de jeunes taïwanais « tourner les rails » pour lancer des entreprises ici.

« Si les jeunes de Taïwan ne viennent pas au continent, ils seront toujours au bord de la ligne de production de famille-modèle en faisant face au marché de Taiwan. » Zhan Yizhe indique que le marché continental est grand, les ateliers ont bien des possibilités d’être usine, alors le resserrement des rangs est le passage obligé pour eux.

Zhan Yizhe, qui a « embraqué » dans le continent à l’âge de 16 ans, s’est déjà battu dans le continent depuis 16 ans, « Mon expérience est que si vous décidez d'investir, alors allez intégrer bien dans la région.